vendredi 12 octobre 2012

16 millions d’euros de rémunération pour Maurice Lévy

     

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    Le patron du groupe publicitaire Publicis, Maurice Lévy, a concédé samedi que sa rémunération ( 16 millions d’euros) pouvait choquer l'opinion tout en soulignant qu'elle était le fruit d'un travail accumulé pendant neuf années et couronné de succès.   
    " C'est vrai que c'est beaucoup d'argent et que cela peut être choquant. Mais c'est de l'argent gagné sur de la réussite, réussite dont je suis extraordinairement fier. Je suis fier pour mon pays, pour mon entreprise pour mes actionnaires, a-t-il déclaré samedi à la radio RTL.
   Elisabeth Badinter est la garante morale du quatrième groupe mondial de publicité ». Et son pouvoir décisionnel, en termes de responsabilité sociale d’entreprise notamment, ne doit pas être maigre, vu les 10,16% d’actions qu’elle détient dans le groupe. Elisabeth Badinter, encartée au PS, dont le mari est l'avocat Robert Badinter, ancien ministre de la justice de François Miterrand, et ancien sénateur PS des Hauts de Seine. Le couple ne s'est pas gêné pour faire part, aux proches d' Hollande, de ce qu'il pensait de l'exemple choisi pour fustiger les riches. D' autant plus, qu'Elisabeth Badinter a touché, le 30 juin 2011, 13 millions d' € de dividendes, et se serait bien gardée de cette publicité, comme d’ailleurs de le faire savoir. .
ET TONTON FRANÇOIS ?
   Dans son meeting de mercredi 27 mars 2012, François Hollande s'en est pris, une fois de plus, aux riches et aux rémunérations des patrons.  Il a évoqué et violemment dénoncé le bonus de 16 millions d'€ qui vient d'être octroyé à Maurice Lévy, patron de Publicis, et en a profité pour marteler que Nicolas Sarkozy n'était que le président des riches.
   Le bonus a été voté par les actionnaires majoritaires, dont le plus important n'est autre qu' Elisabeth Badinter, présidente du conseil de surveillance du groupe Publicis. Il sera intéressant de voir comment Tonton va régler ce problème s'il est élu Président de la République car c
e sont nombre de ses propres amis qu'il va devoir pénaliser. Je n'y crois pas une seconde, mais nous verrons bien. 

( 16 millions d’euros) pouvait choquer l'opinion tout en soulignant qu'elle était le fruit d'un travail accumulé pendant neuf années et couronné de succès.   
    " C'est vrai que c'est beaucoup d'argent et que cela peut être choquant. Mais c'est de l'argent gagné sur de la réussite, réussite dont je suis extraordinairement fier. Je suis fier pour mon pays, pour mon entreprise pour mes actionnaires, a-t-il déclaré samedi à la radio RTL.
   Elisabeth Badinter est la garante morale du quatrième groupe mondial de publicité ». Et son pouvoir décisionnel, en termes de responsabilité sociale d’entreprise notamment, ne doit pas être maigre, vu les 10,16% d’actions qu’elle détient dans le groupe. Elisabeth Badinter, encartée au PS, dont le mari est l'avocat Robert Badinter, ancien ministre de la justice de François Miterrand, et ancien sénateur PS des Hauts de Seine. Le couple ne s'est pas gêné pour faire part, aux proches d' Hollande, de ce qu'il pensait de l'exemple choisi pour fustiger les riches. D' autant plus, qu'Elisabeth Badinter a touché, le 30 juin 2011, 13 millions d' € de dividendes, et se serait bien gardée de cette publicité, comme d’ailleurs de le faire savoir. .
ET TONTON FRANÇOIS ?
   Dans son meeting de mercredi 27 mars 2012, François Hollande s'en est pris, une fois de plus, aux riches et aux rémunérations des patrons.  Il a évoqué et violemment dénoncé le bonus de 16 millions d'€ qui vient d'être octroyé à Maurice Lévy, patron de Publicis, et en a profité pour marteler que Nicolas Sarkozy n'était que le président des riches.
   Le bonus a été voté par les actionnaires majoritaires, dont le plus important n'est autre qu' Elisabeth Badinter, présidente du conseil de surveillance du groupe Publicis. Il sera intéressant de voir comment Tonton va régler ce problème s'il est élu Président de la République car c
e sont nombre de ses propres amis qu'il va devoir pénaliser. Je n'y crois pas une seconde, mais nous verrons bien. 

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