La présidente de Poitou-Charentes, battue dimanche en
Charente-Maritime, s'estime victime d'un "acharnement" après une
"trahison".
Une semaine jour pour jour après le tweet de Valérie Trierweiler
soutenant Oliver Falorni contre Ségolène Royal, la présidente de
Poitou-Charentes s'épanche à son tour sur le site de micro-blogging...
Alors qu'elle était restée muette depuis le 15 juin dernier sur Twitter,
la candidate battue dimanche dans la première circonscription de
Charente-Maritime et qui a vu en un soir s'évanouir ses rêves de
perchoir a publié, mardi matin, trois messages en moins de dix minutes. "Ça ressemble à quoi cet acharnement sur une femme politique honnête ?" s'insurge-t-elle en lisant dans la presse que, en annonçant sa défaite avant 20 heures, elle a brisé l'embargo sur les résultats des élections législatives. "Bizarre article sur le point.fr et menaces du CSA. J'ai donné une déclaration à enregistrer pour diffusion après 20 heures au choix des médias", plaide-t-elle, visiblement meurtrie. "Si certains médias l'ont diffusée avant c'est leur choix. Et le CSA me condamnerait sans m'entendre ? Et le principe du contradictoire ?" La question devrait être tranchée
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